Sciences Po, à travers notamment son École de journalisme, forme les étudiants dans le cadre d'un programme d'études menées dans les conditions d'une salle de rédaction. A l'issue de Sciences Po leurs débouchés dans le journalisme sont variés : reporters, journalistes spécialisés, correspondants (localiers ou internationaux), chefs de services au sein de grandes chaînes de télévision, directeurs de rédaction, journalistes reporters d'image. Focus sur ces métiers et témoignages de diplômés.
Marie Gentric, diplômée en 2018 de l'École de journalisme. Elle a travaillé à New York et elle travaille maintenant comme journaliste au service politique de BFMTV en France.
Laszlo Gelabert a suivi un double licence de lettres modernes e de philosophie et il a ensuite intégré le Master de journalisme de l'École de journalisme. Il est journaliste rédacteur pour l'émission C dans l'air, diffusée sur France 5.
Célia Heron, diplômée en 2010 du Master en journalisme.
Ella a travaillé aux Etats-Unis pendant 5 ans et maintenant elle travaille comme cheffe de rubrique chez Le Temps.
Adrien Gindre est le chef du service politique de TF1 et LCI. Il a fait un parcours en apprentissage en alternance à RTL, diplômé en 2007 de l'École de journalisme.
Andrei est un journaliste et chercheur roumain indépendant, spécialisé dans les droits de l'homme, les conflits, les migrations et les affaires étrangères. Ses reportages sont publiés entre autres dans The Guardian, Al Jazeera English, Libération, Der Spiegel, VICE, Middle East Eye et The Calvert Journal. Il est également producteur audio et vidéographe, capable de réaliser des reportages, des scripts, des prises de vue, des enregistrements, des narrations et des montages d'histoires audio, de podcasts, de courts-métrages et de reportages.
Depuis le 24 février 2022 et l'invasion de l'Ukraine par la Russie, l'existence de millions d'Ukrainiens a basculé dans la guerre.
Pour couvrir ce conflit, certains diplômés de l'Ecole de journalisme de Sciences Po sont en premières lignes, en Ukraine, en Russie, en Pologne, en Moldavie, pour collecter des témoignages et raconter de façon fiable ce qui est aussi une "guerre de l'information".
"Journalism is a field where any experience is good experience"
Paroles d'anciens élèves de l'Ecole de journalisme
Hadrien Bect, diplômé du Master en journalisme
Misant sur l’apprentissage par la pratique et l’immersion dans le numérique, l’École de journalisme de Sciences Po forme de jeunes professionnels opérationnels en presse écrite, radio, télévision, web et mobile. Des diplômés capables de comprendre les enjeux du monde de demain et de faire évoluer leur métier sur le long terme grâce au socle intellectuel des sciences sociales.
L'École de journalisme, par son programme d'études menées dans les conditions d'une salle de rédaction, place d'emblée ses étudiants dans l'exercice du métier qu'ils ont choisi. Elle leur fait vivre, dès la première année de master, une vie de journaliste, tout en les invitant à réfléchir sur la raison d'être de leur profession,
son évolution dans l'histoire, et son impact au quotidien.
L’École de journalisme de Sciences Po a mobilisé tous ses étudiants pour couvrir la Présidentielle 2017. Objectifs : se mettre en situation de reportage comme de vrais journalistes mais, surtout, créer des contenus créatifs résolument orientés vers le digital. Entretien avec Alice Antheaume, directrice exécutive de l’École de journalisme de Sciences Po. #ScPo2017
A la fois étudiant à l'École de Journalisme de Sciences Po et apprenti à la rédaction des sports de Canal +, Yanis Bacha réalise des commentaires audio-descriptifs des matches de foot de l’Euro. Un dispositif original mis en place par l’association Cafe Football* pour rendre la compétition accessible aux supporters aveugles et malvoyants. Rencontre avec Yanis, en direct depuis la tribune de presse du Stade de France.
Étudiant à l’École de journalisme de Sciences Po, Pierre Sautreuil suit son master 2 en apprentissage au sein de l’Agence France Presse. Son année de césure, il l’a passée en Ukraine sur le front, avec les séparatistes pro-russes. Une expérience de reporter de guerre à 21 ans qui lui a valu le prix Bayeux Calvados du Jeune reporter en octobre 2015. Rencontre.
